***Article(s) en date du 27.6.07***

Flagrant délit

Un petit moment sans blogger, mais entre le mémoire du Master, les oraux de mes ouailles de BTS, notre archarnement sur Lady Vashj, mon anniversaire fêté à droite à gauche, je n'ai pas trop eu le temps de poster ici. Pas le temps par exemple de vous rappeler ma ouicheliste Amazon, pour ceux qui voulaient me souhaiter mes vingt ans (et merci à ceux qui l'ont déjà fait, j'ai pas encore reçu les colis mais j'ai vu que la ouicheliste avait diminué de taille ^^) . Ou de vous dire que le Nombriloscope avait été mis à jour.

Dans une semaine, je décolle (enfin non, puisque cette année j'y vais en train) pour Toulouse afin d'y passer les oraux du Capes. Qui, finalement, me motivent de moins en moins. Outre le fait que le budget pour passer les oraux reste énorme malgré le passage de l'avion au train (400 euros grosso modo sans compter la bouffe et le bus sur place), même si la stabilité et la légèreté de ma situation vont clairement s'améliorer si j'ai le concours, je n'ai aucune garantie de tomber sur une équipe pédagogique avec laquelle je m'entends aussi bien que celle de ma fac privée, et j'ai en revanche toutes les garanties d'être nettement moins intéressé par le niveau des cours que j'aurai à dispenser en lycée, et ne serait-ce que par les étudiants que j'aurai en face de moi. Mais bon. Encore 4 ans avant la fin de la thèse et le concours de directeur de recherches littéraires. Donc il faut bien gagner sa croute :)

Néanmoins, je suis tout de même impatient d'aller dans la ville rose puisque je vais y rencontrer en chair et en os (et en cheveux, et en cou, et peut être même en nombril :p) une jeune fille avec qui je discute beaucoup beaucoup depuis une semaine ou deux, et qui pourtant n'habite pas du tout Toulouse, mais Bruxelles, pas si loin de chez moi. Mais il se trouve par un "hazard" ([ironie]et vous savez combien je crois aux coincidences [/ironie]) assez dingue que nous serons ensemble en même temps dans le sud de la France, elle pour un stage, moi pour les oraux.

Cette synchronicité des plannings n'est que la partie émergée de l'iceberg, un point commun parmi tant d'autres que nous avons découvert durant ces discussions. Nous sommes pourtant extrêmement différents dans la forme, et dans les détails, mais surprenemment proches sur le fond. C'est parfois assez effarant. Les premiers points communs sont marrants, les suivants étonnants, et la cascade qui suit carrément sidérante. En même temps, on voit parfois les points commun qu'on veut bien voir, je suis bien le premier à défendre l'importance du point de vue dans ce genre de situations. Mais tout de même.

Oh je te rassure, fidèle lecteur, jolie lectrice, je ne suis pas en train de te faire la grande scène du deux, de la découverte impromptue de l'amour, que dis-je, de l'Amour de ma vie, car tu sais bien (si tu as lu mes articles sur l'Amour) que je ne crois pas au concept de l'Amour d'une vie, ni aux coups de foudres dans le sens classique du terme. Mais tout de même (bis), je suis attentif à ce genre de signes, moi qui ait trouvé la force d'une rupture suite à la fermeture d'un Pizza Hut.

En plus, si je dois être objectif avec moi même, la demoiselle ne corresponds pourtant pas à mon "type" de fille classique, pour tant soit peu que j'ai un quelconque "type". Elle a la bougeote et je suis plutôt pantouflard, veut conquérir le monde du bout de son objectif alors que j'aime mon petit Metz même si j'aime les voyages, est allergique aux chats alors que j'aurais du mal à vivre sans, vit loin de moi alors que j'ai du mal à gérer les distances, et semble étrangement attirée par les types sans cheveux du tout alors que je suis plutôt du genre Samson (non, Thibaud, tu n'auras pas son numéro de téléphone >_<).



Mais.



Mais, elle utilise le même smiley "^^" MSN que moi. On est souvent tous les deux débordés en même temps. Avec une tendance à flaner sur MSN et ne pas vouloir laisser une réponse sans réponse, cercle vicieux. On a la même méthode de rangement de chambre et bureau. On est ennemis des fers à repasser. Elle est cyclothymique comme moi. Allergique au pollen. Préscolaire durant ses années lycées. A étudié l'anglais. S'entends mieux avec les personnes du sexe opposé qu'avec les personnes de son propre sexe. On aime avoir le dernier mot (je vous laisse imaginer nous deux dans une argumentation où on est pas forcément d'accord) On est superficiels parfois mais on l'assume. On aime les jeux de mots débiles.



Et pour les choses moins futiles, c'est probablement la première personne que je croise qui a une analyse et une conception de la vie, de l'Amour, de l'amitié, et des relations humaines aussi proche des miennes. Elle semble également avoir une nette propension à l'introspection (probablement comme moi héritée de sa cyclothymie). A vivre au jour le jour, ou à la nuit la nuit. Enfin, elle croit aux petits signes sans croire au destin.

Et, comme moi, elle parle à la Lune.

Bref, vous l'aurez compris, je suis très impatient de la rencontrer, parce qu'elle a clairement piqué ma curiosité, dans le bon sens du terme, avec ses mots sensés et ses mots dingues, et sa petite voix de souris. Je me rappelle de Fabienne Franseuil, qui m'expliquait que ses attractions étaient divisés entre le désir qui naissait d'une pulsion physique, et le désir qui naissait d'une attraction mentale, culturelle ou intellectuelle. Je comprends un peu mieux Fabienne maintenant. La miss a beau être très jolie, c'est en dedans sa tête que je la trouve so sexy.

Alors bien sûr, je reste le sourcil levé, parce que les petits signes ne font pas tout, que les contacts via le net m'ont toujours laissé dubitatif, et que si ça se trouve au bout de 10 minutes en face à face on va se créper le chignon, se rendre compte qu'on peut pas se voir en peinture, et effacer au plus vite nos numéros (+33 et +32) de nos portables, mais bon. J'attends néanmoins cette rencontre avec une impatience non feinte, en terrain neutre. Ce n'est pas qu'elle me "plait". C'est qu'elle m' "intrigue". Et ça, ça, ça peut s'avérer BEAUCOUP plus dangereux. Enfin. Qui vivra, verra. Et là, en ce moment précis? Je me sens vivre.



On verra :)

La citation du jour : "Han! t'as eu le coup de foudre pour moi hein? C'est ca?"
La chanson du jour : Signes, Maxime Le Forestier, "J'étais couché sur le dos, Je regardais les étoiles et la lune, [...] Elle est arrivée comme une Envie de fraîcheur sur ma peau."

Même si c'est quand même étrange tous ces points communs, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 16.6.07***

I used to be an intellectual whore :D

Han p'tain, il est énorme ce site. Un grand, grand, GRAND merci à Anthony pour m'avoir filé le lien de Intellectual Whores parce que j'ai passé un vrai bon moment à le lire et à y retrouver un bon nombre des théories qu'on avait assemblées autour d'excès de psychoactifs du temps de l'IUT info. La théorie de l'échelle, ça, on y avait jamais pensé, mais c'est tellement vrai que c'est énorme. Je vous conseille vivement de faire l'effort d'aller lire ce site.

Allez, morceaux choisis histoire de vous mettre l'eau à la bouche. Entre autres, ce site pousse un peu plus loin la règle 27 (tous les types bien sont avec des connasses, toutes les filles bien avec des connards, vous vous souvenez ?) pour dire que les filles dans cette situation s'entourent souvent d'Intellectual Whores (littéralement, des putes intellectuelles) qui sont des filles ou, plus souvent, des mecs, qui leur apportent un niveau de culture et/ou de dialogue affectif ou intellectuel que ne leur apportent pas leur mec. Les raisons et les explications sont sur le site. Allez le lire :)

L'autre théorie sympa (et, honnêtement, vraie à 99%, voire plus, si si, croyez en le mec qui abbhore l'hypocrisie et qui fréquentent beaucoup de mecs qui ont un discours sur le sujet totalement différent lorsqu'ils sont entre mecs où lorsqu'une fille est présente :p) est qu'un homme moyen veut, ou au moins accepterait, tout rapport sexuel avec ses relations féminines sauf si :

A) Il est gay,
B) Il a actuellement des relations régulières avec une fille qu'il trouve mieux,
C) Il trouve la fille positivement repoussante.

Si vous êtes une fille et qu'à la lecture de ceci vous vous dites : "meuh non, s'pas vrai, Bob lui n'est pas comme ça, Il ne m'imaginerais jamais comme ça lui, etc." ? Il est gay, il a mieux, il vous trouve repoussante, ou, nettement plus probablement, vous vous trompez simplement sur lui. Le site propose une très simple expérience (même mentale) à faire pour ça :

* Choisissez un garçon qui, selon vous, ne réponds pas à ces critères, et qui ne vous vois que comme une amie
* Arrangez vous pour être seuls tous les deux chez l'un ou chez l'autre un soir
* Pretextez d'aller dans la salle de bain, revenez entièrement nue, et proposez lui de vous faire l'amour.

A votre avis, va t'il accepter, ou répondre qu'il ne veut pas risquer la belle amitié qui vous lie en y insérant des complications physiques à problèmes ? Répondez honnêtement à cette question, hell, faites le test si vous n'êtes pas vraiment sûre.

Men are bitches. Women are worse :p

****

Bon, sinon je ne sais pas si j'avais fait de pitcher l'an dernier (j'avais dû le faire il y a deux ans, mais je crois que l'an passé j'ai oublié) mais dans une semaine je fête mes vingt ans (officieux, à la Bryan Adams. Il y a un article là dessus quelquepart dans les archives, je pense). Si vous voulez me faire plaisir ou si vous ne savez pas quoi faire de votre argent, voici ma ouicheliste Amazon grâce à laquelle vous pourrez m'envoyer plein de bouquins et remplir ma liste de lecture des grandes vacances :)

La citation du jour : "Tiens t'as tout déchiré en linguistique !"
La chanson du jour : Lovers that never were, Paul McCartney, "All of the clocks have run down, Time's at an end, If we can't be lovers we'll never be friends"

Même si l'hypocrisie reste néanmoins un facteur, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 11.6.07***

Touché !

Journée de merde, de merde, de merde, comme une envie de tout envoyer chier. Genre, tout.

Et puis on tombe sur ça :





Et ça remonte le moral, un peu.

Juste un peu.

La citation du jour : "Alors on ne vous aura peut être pas l'an prochain ?"
La chanson du jour : Pas assez de toi, Mano Negra, "J'ai comme une envie de tourner le gaz, Comme envie de m'faire sauter les plombs, Comme envie de t'expliquer comme ça Que ton indifférence, elle ne me touche pas"

Même si tout va parfois trop vite, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 10.6.07***

On peut ne rien voir même sans être aveugle

Dimanche, 10 juin, premier tour des législatives, a voté. A voté, comme pour toutes les élections depuis que j'ai ma carte d'électeur, même si je m'attends à ce que la participation soit bien moindre que celle de la dernière élection présidentielle. Normal, en masse, le peuple fraçais qui est le mien (sur le papier) n'a jamais compris que les législatives étaient bien plus importantes que la présidentielle. Et bien évidemment, vu l'importance, cette fois je n'ai pas voté avec une pièce, je savais pour qui j'allais voter et pourquoi.

Mais arrêtons de parler politique un peu pour se concentrer sur le sujet de l'article du jour (vous voyez, je vous avais dit que j'éviterais les articles trop politiques, après la série assez longue sur la présidentielle ^^). Aujourd'hui parlons de coeur. Parce que c'est un sujet qui me tiens, pun intended, à coeur, et parce que c'est dans l'air du temps en ce moment.

Une fois n'est pas coutume, je ne parlerais cette fois pas (directement) de mes petites affaires, mais je développerai ci dessous une des Grandes Vérités, les grandes lois inconscientes de la vie. Les gens qui me cotoient régulièrement ici ou surtout en "vrai", en chair et en os, savent surement que je fais très souvent référence à cet ensemble de règles que des amis et moi même avions mis en place, souvent pleins de stup's et d'alcool, pendant les années IUT. Mis en place, ou plutôt révélé, car le bien fondé et la véracité de ces règles ou conseils ont été maintes fois prouvés ou démontrés par l'exemple. On pourra citer la fréquence règle numéro sept ("ne jamais, jamais, jamais, JAMAIS re-sortir avec un(e) ex"), la vingt-sept ("Les filles bien sont toujours avec des connards, les mecs biens sont toujours avec des connasses - corollaire : parfois, deux êtres exceptionnels se rencontrent"), ou plus simplement les deux premières : Règle 1 ==> Ne jamais faire ce que tu n'as pas envie de faire, Règle 2 ==> Dans la mesure du possible, toujours faire ce que tu as envie de faire.

Mais ici, c'est une toute autre Règle de la Vie que je vais aborder. J'avoue que ma mémoire poisson-rougesque m'en a fait oublier le numéro. Il me semble que c'était la quatrième, mais je n'en ai plus la certitude. Bref, son contenu est plus important que son numéro, alors on y va :

"Dans les relations amoureuses ou les relations d'attraction, même les élans les plus flagrants et visibles de tous passeront la plupart du temps inaperçus aux yeux de la personne à qui ils sont destinés"

Prenez le temps de la relire et d'y réfléchir. Très fortement liée dans son concept au principe comme quoi souvent un(e) homo/bisexuel qui ne s'assume pas ne s'en rends pas compte alors que tout son entourage est au courant, il est indéniable que souvent même le plus perceptif des garçons, même la plus Sherlockienne des filles, ont tendance à rester totalement aveugle aux gestes et attentions passionnés de toute personne leur vouant un quelconque intérêt.

Combien de fois avec vous remarqué que votre ami Bob bavait à longueur de journée (et de nuit, probablement) sur votre copine Charlotte. Vos autres amis et vous en parlez souvent autour d'un café. Parfois, vous en parlez même avec Bob, qui, la mine mi-déconfite, mi-rêveuse, vous explique combien Charlotte est merveilleuse et combien il est de toutes façons logiquement, mathématiquement, physiologiquement, philosophiquement, religieusement, physiquement, durassahécrilament IMPOSSIBLE qu'elle s'intéresse ne serait-ce qu'une minute à lui.

Même les amies de Charlotte ne sont pas dupes non plus. Elle se mettent à glousser en voyant Bob bafouiller devant leur amie, elles en parlent entre elles en se disant combien Bob ferait mieux de lâcher l'affaire, et en se demandant pourquoi (et comment !) Charlotte passe parfois du temps avec ce nâââââze. Les discussions entre copines-de-Charlotte et copains-de-Bob à ce sujet peuvent d'ailleurs s'envenimer, parfois... ou au contraire créer de nouvelles relations poussant sur un tronc commun.

Mais Charlotte, elle ? Charlotte reste aveugle. Même si Bob rougit systématiquement devant elle, s'il a du mal à trouver ses mots, s'il la couvre d'attention, Charlotte ne se rendra compte de rien. Même si ses copines (celles du dessus) lui en parlent, elle se contentera probablement d'en rire ou de dire un "mais noooooooon vous vous faites des idées". Cet effet est encore décuplé si par un heureux hazard, Charlotte éprouve elle aussi un peu d'intérêt envers Bob. Combien de couples sont ainsi morts dans l'oeuf sans intervention extérieure ? Trop.

Ce n'est probablement pas la première fois que je dis cela, mais tout serait tellement plus simple si tout le monde, absolument tout le monde pouvait lire dans les pensées d'autrui comme dans un livre ouvert et vice versa. Plus d'hypocrisie entre les gens, plus d'illusions bercées pendant trop de temps, et surtout plus de temps perdu. Un jour, oh oui un jour, je ferai construire et je commercialiserai mon concept du multi-bipper "tu me plais". Un jour...

En attendant, comme tous les autres êtres humains, j'avance sans bipper et sans lecture de pensées. Ce qui, en directe conséquence, a le don de monopoliser les miennes...

La citation du jour : "Je suis chez mon père, j'ai pas ma carte d'électeur et en plus c'est trop le bordel pour se garer !"
La chanson du jour : Yes, I am blind, Morrissey, "Yes, I am blind, No, I can't see, There must be something Horribly wrong with me ?"

Même si l'amour est myope, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 7.6.07***

Les p'tites lignes

Les jours avancent toujours, et j'ai presque l'impression que mon travail, lui, recule. Demain, j'aurais dû passer un oral pour mon Master, oui mais voilà, je serai moi même en train d'en faire passer, des oraux, jury d'anglais pour DEES Marketing et Communication. Du coup après un coup de fil au responsable des Masters à l'université, tout est arrangé, je passe certains oraux mardi, et ceux d'un UE précis en septembre seulement, en même temps que la deuxième session quoi... Mais bon, pas trop le choix. Avec le rush de fin d'année scolaire, je me dis que j'en ai peut être un peu trop fait cette année, mais bon (ah, et pour ceux qui en doutaient encore, oui, je suis admissible à l'oral du CAPES).

Le côté prof de ma vie n'est pas particulièrement doré en ce moment non plus. Toutes mes classes chouchoutes ont fini (soit en stage, soit parce que leurs exams sont déjà passés) et celles qui restent sont soit quelconques, soit particulièrement fatiguantes (et doublement fatiguantes, quand vu le temps, le manque de motivation est palpable dans la piece), du coup se lever le matin en ce moment et jusqu'à fin juin, c'est pas une partie de plaisir.

Sinon, dans la série "ça fait longtemps que vous m'avez pas vu vraiment déprimer", je vous rassure, fans et admiratrices de mes larmes nocturnes durant mes périodes sombres, ça devrait bientôt revenir. Outre le stress professionnel (d'un côté et de l'autre de la barrière), la pression du haut niveau à WoW (riez pas -_-), et la fin d'année qui approche, je suis surtout en train de faire mon erreur habituelle, et je la vois venir sans rien pouvoir y faire, comme un Bambi pétrifié sur la route qui regarde les phares du camion s'approcher. Mais j'ai beau tout faire pour y résister, je sens encore une fois céder petit à petit toutes les barrières pourtant piégées et sécurisées que j'ai mis autour de mon p'tit coeur d'artichaud. En deux mots, je m'ouvre, et je me rends vulnérable. Et en général, c'est souvent là que la vie m'assassine, encore.

Mais bon. La vie serait si chiante si elle était simple. Et une chose que j'ai appris à bien faire (c'est comme Nutella, ce sont les années d'expérience qui font la différence), c'est me relever quand je tombe. Et même si ça fait mal, même si ça me détruit chaque fois un peu plus, la chute en elle même est trop grisante, le voyage est trop doux, et je plonge toujours avec le même entrain et la même impatience. Je sais que certains de mes proches ont du mal à me comprendre sur ce point... Moi même, au début... Mais je crois que pour le comprendre il faut être un peu comme moi. Peut être un peu trop artiste. Peut être un peu trop rêveur. Beaucoup, beaucoup trop plein d'amour. Mais je m'en fiche, de ceux qui ne veulent pas comprendre. Je suis moi et j'assume, un gros bisounours incorrigible qui a le don de toujours s'attacher quand il ne faut pas. Et même si je glisse, c'est avec le sourire. Et mon coeur, ou ce qu'il en reste, toujours offert à bout de bras...



La citation du jour : "Je vis ma vie comme on résout a²+b². Tu peux passer par les identités remarquables, ou bien tu peux t'amuser à développer et à rajouter 20 lignes de code."
La citation bonus du jour : "Au fait, c'est pour qui se pseudo encore ? S'pèce de bisounours"
La chanson du jour : Je suis de celles, Bénabar, "Je me répétais 'faut pas qu'je m'attache'... "

Même si je m'attache quand même et que ça va bien finir par me retomber sur le coin de la djeule, la vie est belle!

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