***Article(s) en date du 4.7.07***

Le post avec un incipit a peine pas pompé...

Ca y est c'est LA veille.
Peut importe de quoi la veille est. La veille, c'est la veille.
La veille c'est le jour où on ne dort pas, alors qu'on devrait vraiment, pour etre en forme pour LE jour.

La veille, comme quoi, c'est aussi le jour où on pompe sans remords aucun ce qui a déjà été écrit et qui fonctionne :)

Demain matin, je saute donc dans le train direction Toulouse, en espérant qu'il n'y fasse pas *trop* chaud. Toulouse, pour les oraux du Capes, pour sa place du Capitole, pour un verre avec Dahlia qui l'avait esquivé l'an dernier, la fourbe, pour me saouler avec des litres de Perrier, et pour un rendez vous avec la petite souris. C'est marrant de voir tous ces évènements comme ça pouf, à la suite, alors que si on devait leur mettre une épaisseur de police dépendant de ma motivation, mon intérêt, ou le temps d'occupation de mes pensées par le sujet, à la manière d'un nuage web, eh bien je pense que la mise en page du blog ne serait plus du tout la même ^^...

L'an dernier, j'allais à Toulouse l'air confiant et arrogant, ne me doutant pas le moins du monde de combien la chaleur allait m'assomer, ni que ce satané jury jugerait hors sujet ma prestation didactique. Cette année, j'y part le coeur léger et détendu, désinvolte. Je sais que je retrouverai mon poste à la rentrée si je rate mes oraux, et en fait je ne suis même pas sûr de VOULOIR les réussir, du coup. Mais bon, j'y vais quand même, pour voir, comme au poker. Voir l'épreuve, et surtout voir la demoiselle qui m'intrigue. C'est fou comme le Capes est devenu secondaire.

Je pense que comme l'an dernier vous aurez le droit, à mon retour, à un récit détaillé de mon périple (parce que du coup ce sont des articles faciles :p). Peut être même sur place si je trouve et du temps, et un cybercafé.

J'en profite pour souhaiter un bon anniversaire a Emilie perdue loin dans l'autre hémisphère. Alors en guise de dédicace, je me suis demandé ce qui pourrait correspondre le mieux et... Eh cocotte... prenpéro :D ?



La veille, donc, passée à bosser des traductions et à penser à demain soir. Curieux, et impatient. Vivement, vivement demain. Si ça se trouve, ça va être une catastrophe. Mais quand même. Vivement demain. Ne serait-ce que parce qu'après une semaine d'absence sonore, la petite voix de souris me manque déjà. On s'habitue vite à ce genre de luxe, quand on est un incorrigible bisounours...

La citation du jour : "Mais nan réfléchis pas"
La chanson du jour : Le chat, Pow Wow, "Moi vouloir être chat [...] Pour me blottir dans tes bras [...] et la souris ce sera toi !"

Même si vingt-quatre heures c'est long, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 13.4.07***

Cadeau d'anniversaire...

Comment résumer en quelques lignes la façon dont nos liens se désignent ?
Invisibles et pourtant incassables, si solides, et pourtant impalpables…
C’est impossible, je m’y résigne. Pourtant, j’ai gravé ces quelques signes
Pour parler de nos rires improbables, notre compréhension ineffable,
Tous ces non-dits que l’on emprisonne comme si le son était un blasphème,
Sans aucun bruit, entre nous raisonnent ces silences où je te dis « Je t’Aime »

Je sais trop qu’à ces mots tu t’enfuis, malgré tout ce que l’on a construit
– Déjà trois ans derrière nous, fugaces, toujours dix ans entre nous, crevasses –
Alors je me tais dessous la pluie de mes yeux alors que me poursuit
L’insolence amère du temps qui passe, tout ce temps perdu que rien n’efface.
Je ne dis rien, mais tu sais déjà ces élans portés par mon cœur blême
Mon sang qui coule au rythme de toi dans ces rêves où je te crie « Je t’Aime »

Dix-huit années de larmes et de joies, la vie change, la vie ne change pas
Je vois défiler tes amoureux en restant pour toi un Entre-Deux…
Et parfois quand tu sors de leurs bras, tu viens te serrer tout contre moi,
Je noie mon visage dans tes cheveux, mes doigts sur ta peau, mais juste un peu…
Pardonne-moi de te désobéir par ces peines, ces bonheurs que je sème
Mais je voulais simplement t’offrir quelques mots où je t’écris… « Je t’Aime »

La citation du jour : "Tu as les yeux tristes"
La chanson du jour : Mathilde, Jacques Brel, "Mon cœur, arrête de bringuebaler! Souviens-toi qu'elle t'a déchiré !"

Même si je ne sais pas te faire rêver, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 13.1.07***

Et de 250 !

*arrive discrètement, comme si de rien n'était, souffle discrètement sur l'amoncellement de poussière qui s'est accumulée ici en un mois*

BON ANNIVERSAIRE !

La raison du décompte de ces derniers articles était donc la suivante : vous êtes actuellement en train de lire le deux-cent cinquantième article de la nouvelle formule de Tears of the Night (depuis ma migration des terres dévastées -et surtout très mal fréquentées- de Skyblog-land, Skyblog qui, ne l'oublions pas, est le Mal(tm)).

Cet article anniversaire n'était pas censé arriver si tard, mais comme on dit, life happens. Oui, on dit aussi et surtout "shit happens", mais bon, soyons positifs. Le mois de décembre a été relativement chaotique en termes psychologiques et en termes de gestion de temps. Je ne sais pas si j'aurai le temps (et l'envie) de parler de tout ce qui s'est passé, mais autant pour l'instant ne plus y penser et partir de l'avant, recommencer à coucher mon sang et mes mots sur le papier de toile électronique, en espérant que vous me pardonnerez la vacuité de ce lieu du mois passé.

Je n'ai pas non plus, vous avez pu le remarqué, tenu ma promesse sur la radio et le courrier des lecteurs avant Yule. Espérons que ce sera avant Yule 2007, du coup, mais je me suis pour l'instant retrouvé (en tout cas pour la radio) devant un problème technique : pour fonctionner, la radio en question a besoin d'un moteur PhP sur le serveur qui héberge mes pages. Et il n'y a pas de moteur PhP sur le serveur qui héberge mes pages. Je suis donc preneur de tout bon tuyau pour un emplacement de stockage *gratuit* sur lequel je pourrais déposer mes meupeutreu et les pages gérant le lecteur (de meupeutreu, pas vous !) disposant d'un moteur PhP. Un ami m'avait gentiment prêté un compte free il y a quelques mois (coucou Marsu !) mais depuis Free a changé un truc et on ne peut se connecter à leurs comptes FTP que depuis une connection Free. Et comme l'atteste le "perso.ORANGE.fr" du début de l'adresse de ce blog, je ne suis pas chez Free. Donc dans l'attente, la radio est en stand by.

Néanmoins, vous remarquerez que tel Gaiman sur le sien, mon blog est passé à la nouvelle version du Blogger qui permet de gérer des tags de filtre. Pour l'instant ça m'amuse beaucoup alors attendez vous à voir ces articles bien classés.

Voilà, l'admiistratif est réglé. Merci à tous ceux qui sont encore là et qui attendaient vainement une mise à jours pendant ces longues semaines de silence. Ceux qui sont partis... j'espère que vous reviendrez maintenant que le silence est rompu. Me revoilà, vingt ans et toutes mes dents, toujours aussi amoureux de la vie, de l'Amour, et des sourires, le visage peut être simplement un peu plus marqué et les yeux un peu plus fatigué mais vous saviez, et moi aussi, que cette année serait une année éprouvante pour moi. Mon travail m'exalte mais je travaille trop, et je fais trop d'à côtés. Mais je tiens bon et avec le sourire. Dans un mois, de manière extra-scolaire et pas du tout encadrée par l'école, je pars à London avec certains de mes élèves, pour 2 jours et surtout 3 nuits de folies nocturnes londoniennes. J'ai hâte. Déjà parce que j'apprécie vraiment beaucoup les personnes avec qui je pars -même si la non-disponibilité de dernière minute de la demoiselle de l'accueil qui fait rêver les mâles de la classe en question risque de les décevoir-, et surtout parce que ce seront mes premières "vraies" vacances depuis près de cinq ans.

Me revoilà donc, tant de choses à dire mais je ne veux pas trop m'éterniser et rendre cet article au numéro spécial trop illisible ou trop long. Merci donc à ceux qui sont toujours là et à ceux qui vont revenir. Merci à toi, jeune lecteur, jolie lectrice. Parfois la beauté du silence retrouve aussi un écho à la seconde où il s'achève...

La citation du jour : "Ah, monsieur est levé ?"
La chanson du jour : 5:15, The Who, "Inside outside Leave me alone. Inside outsideNowhere is home. Inside outside Where have I been? Out of my brain on the five fifteen, Out of my brain on a train. Why should I care?"

Même si j'ai passé sept semaines sans écrire ici, la vie est belle !

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